Deux mois après les émeutes, la ville n’arrive pas à oublier l’incroyable déchaînement de violences.
Extrait :
« Les Juifs de Sarcelles pansent leurs plaies. Des plaies qui tardent à se cicatriser. Le Tsunami de violences qui s’est abattu sur Sarcelles le 20 juillet a laissé des stigmates indélébiles. Une odeur de brûlé flotte en permanence dans l’air. Un vrai spectacle de désolation s’offre aux Sarcellois comme aux visiteurs. « Du jamais vu », assurent les habitants confondus, juifs, arabes, turcs, noirs, chaldéens, au hasard de la cinquantaine de nationalités qui vivent à Sarcelles. »
Retrouvez l’article complet d’Alain Chouffan dans le nouveau numéro 650 de L’Arche.