La notion de « tribus perdues » a longtemps nourri l’imaginaire africain
Extrait :
« Les Falachas ne sont pas les seuls juifs noirs africains à se réclamer d’une tradition ancestrale : c’est ce que nous apprend l’ethnologue français Edith Bruder dans Black Jews. Les célèbres Ethiopiens, qui immigrèrent massivement vers Israel dans les années 1990, observent les commandements de la Torah écrite et se désignent eux-mêmes comme les descendants de l’une des dix tribus perdues d’Israel. Comme eux, en Ouganda, en Afrique du Sud ou au Nigéria, parmi les Igbo, les Lemba ou les Abayudaya, des dizaines de milliers de fidèles se retrouvent autour d’une identité juive. »
Retrouvez l’article complet de Macha Fogel dans le nouveau numéro 650 de L’Arche.